Il existe des endroits où le temps ne claque pas des talons, des recoins du sud de la France baignés d’un air presque secret. Amanda Lear s’y attendait, sans doute, quand elle a décidé de s’installer, loin de null l’agitation des plateaux et du vacarme médiatique. Là-bas, sous une lumière pâteuse et douce, derrière des murs de pierre et des volets turquoise, elle a construit un quotidien aussi discret que surprenant, oscillant entre isolement choisi et inspiration vagabonde. Voilà une maison qui ne fait pas la belle : elle respire, épaule la propriétaire, s’imprègne et murmure, ne demande rien, sinon l’honnêteté d’être vécue.
La situation géographique de la maison d’Amanda Lear
Le village de Saint-Rémy-de-Provence et les Alpilles
Au centre d’un théâtre de reliefs, la maison d’Amanda Lear s’accroche aux pentes douces, surveille les Alpilles, guette Saint-Rémy-de-Provence par la fenêtre. Ici, chaque détail claque la carte postale : un marché qui déborde de couleurs, des ruelles habillées d’histoires que personne n’ose trop raconter, des collines écrasées de soleil. Vue sur la nature, baignade dans les parfums : l’artiste s’y nourrit, vit sans manière, avale chaque saison comme une renaissance.
La demeure loin du tumulte urbain
Rien n’est venu au hasard. Amanda Lear a voulu du calme : elle l’a eu. Sa villa s’efface à l’orée des pinèdes, gardée par des oliviers anciens et des cigales. Le bruit? Disparu, remplacé par la rumeur du vent et les tâches mouvantes de lumière sur le sol. Ici, le temps hésite, arrête sa course parfois. Elle parle d’essentiel, de vrai. De ce coin isolé qui ressemble plus à un cocon qu’à une adresse.
Les raisons du choix de la Provence
Elle l’a souvent dit : la Provence lui offrait tout ce que le reste du monde semblait vouloir lui refuser. Une lumière franche, ce maquis qui ne triche pas, cette impression de respirer large, d’appartenir, d’être invisible tout en restant intensément là, présente dans le paysage. Ici, rien n’arrête l’inspiration, rien n’emprisonne. L’anonymat? Amanda s’en amuse.
Les environs et l’ambiance locale
L’adresse du mas, c’est un secret que tous respectent. Ce coin des Alpilles se distingue par un calme dense, rythmant les jours avec des lavandes en feu, des oliveraies têtues, des marchés qui chantent. On croise parfois la silhouette de Patrick Bruel ou celles bien réelles de voisins discrets, jamais intrusifs. Amanda Lear se satisfait de cette douceur rangée, cultive une gratitude tangible de voir tout ça lui appartenir, au moins un peu, au quotidien.
| Atout | Expression d’Amanda Lear |
|---|---|
| Calme et isolement | « Un havre de paix, loin du tumulte » |
| Paysages naturels | « Entre champs de lavande et d’oliviers » |
| Inspiration artistique | « Un refuge pour créer » |
C’est le décor. Il manquait la maison ? Voilà ce qu’on découvre quand la porte s’ouvre.
La description du mas provençal d’Amanda Lear
La structure et l’architecture traditionnelle
Le mas campe dans le paysage, pieds nus et solide, fidèle à la Provence : murs de pierre sèche, volets pastel, tuiles anciennes. On la croirait née ici, cette maison. La lumière circule sans gêne, inonde les pièces, rebondit contre le mobilier simple. Ce n’est pas un décor de magazine, c’est une promesse d’accueil.
Les pièces de vie et l’ambiance intérieure
Les murs bruissent d’histoires. On croise ici un tableau de l’artiste, là un souvenir d’Inde ou d’Italie. La grande pièce à vivre, toujours prête à recevoir les proches – ou les inspirés du jour – pulse au cœur du mas. L’esprit? Moderne sans s’excuser d’être traditionnel, inspirant mais jamais distant.
Le jardin, les oliviers et les espaces extérieurs
Il suffit de franchir la porte pour sentir une vague lente : jardin taillé avec patience, oliviers alignés et terrasse d’où le soleil chute chaque soir, doré et sans remords. Amanda Lear s’efface parfois parmi les arbres, un livre à la main, deux chats sur ses talons. Rien d’ostentatoire, juste un alignement entre l’être, la nature et l’instant. Ici, chaque détail pèse son poids d’intention.
Les éléments de décoration marquants
L’intérieur, c’est un poème en désordre : objets chinés, œuvres signées, fauteuils qui n’attendent que la confidence. Les couleurs ? Un mélange clair-obscur de beige, encore un peu de lavande, puis une touche de vert. Oui, Amanda collectionne aussi les souvenirs, mais jamais la nostalgie. Tout vibre, rien n’est figé.
| Caractéristique | Détail |
|---|---|
| Superficie estimée | Plusieurs centaines de m2 |
| Nombre de chambres | Au moins deux, dont une pour recevoir ses amis |
| Exclusivités | Salle dédiée à l’art et œuvres d’Amanda Lear |
| Espaces extérieurs | Jardin, oliveraie, terrasse panoramique |
La maison s’organise, épouse la discrétion, exhale la création. À l’intérieur, tout murmure qu’ici vit quelqu’un d’attaché au secret autant qu’à la lumière.

Le mode de vie d’Amanda Lear dans sa demeure
Le quotidien à l’écart des projecteurs
Loin des flashs, Amanda Lear cultive l’art de prendre son temps. Non, elle ne boude pas les souvenirs de la scène, elle les range dans ses lectures, dans ses huiles posées sur la toile ou dans ses déambulations entre les oliviers. Pas d’horloge tyrannique ici, seulement une envie de lenteur assumée, le luxe de la liberté, une sorte de silence doré. Personne ne regarde, alors elle respire.
Les moments créatifs et artistiques
Au gré des caprices du soleil, elle peint ou écrit, parfois montre ses tableaux à quelques visiteurs triés. Ce sont des pauses denses, pleines, où chaque journée invente son propre tempo. L’art jaillit d’un recoin, disparaît dans un autre, et personne ne décide, pas même elle. Un équilibre fragile, mais réel, entre l’isolement et la fête intérieure.
Les animaux de compagnie et la solitude choisie
Les chats veillent. Ils suivent Amanda dans ses rêveries, apportent une chaleur muette, mettent du vivant dans le décor. La solitude ? Elle la savoure. Ici, personne ne l’impose : elle l’a choisie. Elle la façonne comme un matériau brut, qui ne coupe jamais des autres mais laisse au repos l’imaginaire.
Les choix de sécurité et d’intimité
Sécurité ? Évidemment, tout est pensé. Des systèmes modernes, des portails presque invisibles derrière la verdure. Ça protège contre les curieux, les importuns – et surtout, ça offre le rare luxe de disparaître quand on veut. Amanda Lear s’offre la possibilité d’être là, tout en n’étant nulle part. Une forme de maîtrise de son image, et un socle pour créer.
Ce mode de vie, c’est une alchimie de retrait, de création, d’attention à soi. Un pari sur la vraie liberté.
Les symboles et significations de la maison pour Amanda Lear
Le refuge face à la célébrité et au temps qui passe
Cette maison, elle le dit sans détour, ce n’est pas presque une maison, c’est un abri dressé en falaise face au bruit. Le temps s’amollit, la célébrité s’épuise dehors : à l’intérieur, Amanda se retrouve, s’ancre. Pour elle, ce mas sonne comme une évidence – le refuge d’où tout repart, ou tout s’arrête, selon l’humeur des saisons.
L’expression de la liberté et de l’indépendance
Dans l’espace, elle dicte ses propres lois. Personne ne souffle la décoration, personne ne choisit l’arrangement. La liberté ? Elle se vit à chaque mètre carré, à chaque tableau déplacé. Amanda insiste : respirer librement, c’est ici que ça se passe. Le mas est à son image, éclectique, parfois frondeur, jamais docile.
Les projets et désirs d’avenir dans la maison
Les projets bouillonnent encore. Elle s’imagine bien finir ici, inviter encore de nouveaux défis, tendre la toile, laisser les rêves s’étaler sur les murs. Loin des plans marketing, près du vivant. Le mas n’est pas un passage, c’est un point fixe. Une envie de stabilité, un goût d’éternité.
L’importance du mas dans son parcours
On retrouve Amanda Lear dans la presse, perchée sur ses souvenirs, expliquant que le mas, c’est le centre de son théâtre intime. Il a vu passer tous les moments forts, l’a portée dans les jours de tourbillon comme dans la quiétude. Ce lien donne sens, s’inscrit dans la durée. La maison n’est pas une coquille, c’est la preuve de sa trajectoire, le témoin muet de ce qu’elle est devenue.
| Thème | Phrase citée |
|---|---|
| Attachement fort | « Je veux mourir ici » |
| Liberté retrouvée | « Enfin chez moi, hors de toute contrainte » |
| Fin d’un parcours | « C’est ici que j’ai trouvé la paix » |
La trajectoire d’Amanda Lear, plus qu’une histoire d’adresse, éveille l’idée qu’un lieu peut devenir pivot, point d’ancrage, voire moteur créatif. Ici, la simplicité tutoie le luxe, la lumière s’empare de tout, et la maison s’avère complice de métamorphoses intérieures. Peut-être, la vraie question : où commence la maison, où finit celle qui l’habite ?

